Un départ classique avec une dizaine de voitures au moins, bon mais nous on est à la bourre, alors à part au premier col dans le sens de la descente on ne croisera personne.
Après celui-ci on sort des sentiers battus pour aller faire notre trace et s’offrir un bout d’arête absolument magnifique.
Ca commence par un petit couloir.
Qui se rétrécit progressivement
Pour nous donner accès à ce fameux petit bout d’arête avec quelques monolithes carrément chamoniard. Cécile et Jérem matent le couloir de descente.
Plus haut Lois s’offre une variante rocheuse très photogénique.
Le début de la descente ne l’est pas moins et la perspective photographique est pour Lio ce coup-ci.
Un des couloirs de ce sommet, très esthétique mais à la neige un peu décevante. La couche de poudre glisse sur la sous couche dure et du coup ne nous laisse pas du ski très agréable. Lois qui en a choisi un autre nous attend déjà en bas où on modifie un peu nos plans.
Lio en profite pour laisser enfin parler ses skis tout neuf (encore des Elan Himalaya), c’est sûr que dans ce type de conditions ils ne demandent que ça.
2 petites descentes supplémentaires donc qui passent par un deuxième sommet.
C’est sûr aujourd’hui pour nous le salut et la bonne neige étaient dans les grandes et larges pentes.
Alors on en profite avant une ultime remontée et une descente finale qui si elle nous ramène à 100 m de la voiture (et même j’jusqu’a celle-ci pour lois qui aime le bricolage) est quand même un peu trop collante. Plus de précisions sur le lieu et la gastronomie savoyarde ici ....