Un début de vacances vers Vallorcine, au Buet plus exactement c'est l'occasion au départ du camping d'aller visiter le vallon de Bérard.
On commence avec Odile par une classique rapide d'accès l'ile aux Razmoket. Bon ici on est à Cham (ou presque) du coup on s'attend à tout au niveau fréquentation... et on ne sera pas déçu en bien comme disent nos amis suisses. Comme vous pouvez le voir sur la photo un stage UCPA nous suit (= 1 encadrant + 6 personnes répartis en 3 cordées), heureusement on était les premiers.
Du coup à part à R1, atteint après un joli dièdre et où ça se bouscule un peu, on ne sera pas du tout gêné.
Et le reste est plutôt sympa. 2 belles longueurs de 5c
Où il faut bien jouer de ses pieds.
Puis à part L4 un peu discontinue le reste est vraiment très bien pour ce niveau de difficulté. C'est certes au prix de quelques prises taillées mais nous on se fait plaisir alors on ne fait pas la fine bouche.
Et voilà après une encore fort belle 7eme longueur on y est. Ça faisait un moment qu'Odile n'avait pas fait une voie comme ça donc y a vraiment de quoi avoir le sourire (comme la plupart des cordées on ne fera pas la partie haute moins intéressante).
5 rappels vite expédiés et nous voici dans la vallée pour un coup d’œil sur des montagnes beaucoup plus impressionnantes...
Le lendemain on remet ça avec Jean Marie. On part tôt pour aller faire une autre classique du coin. J'étais déjà venu ici il y a quelques années, l'occasion d'une rencontre plutôt sympa... et comme la dernière fois les maîtres des lieux sont toujours bien présents
Cette fois on va donc dans l'Eté Indien, sans doute un poil plus exigeante que sa voisine Into the Wild.
C'est bien joli en tout cas, par ici
Par là
Une traversée en 6b que je laisse à JM (pourtant c'était mon tour...)
Bah je terminerai par un 6a dalle c'est plus dans mes cordes...
Les rappels c'est l'occasion de croiser nos très nombreux camardes du jour.
Bon ça a des cotés sympas et c'est multi culturels... y avait 3 cordées derrière nous dans l’Été Indien, au moins 6 dans Into The Wild et vers 13h30 quand on descendait vers le sentier y en avait encore qui arrivait. Hum, hum c'est sûr c'est pas les Écrins.