27 novembre 2016
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19:01
Il ne fait pas si froid et il n’y a pas tant de neige que ça alors pourquoi pas encore un peu d’escalade. Dans le genre facile c’est toujours un plaisir de faire découvrir la Dalle Rousse.
Aujourd’hui c’est au tour de Cécile, le départ est un peu frisquet c’est que quand même, la saison est un peu avancée.
Plus haut comme prévu on retrouve le soleil mais aussi la neige, tiens c’est original pour l’endroit.
Du coup l’attaque est un peu spéciale puisque pour ne pas mouiller les chaussons on va jusqu’au premier point en basket pour chausser ensuite. 2 petits jeunes un peu perdus, puisqu’ils cherchaient Baghera, nous suivent dans la voie d’à coté après qu’on les ait un peu réorientés.
L’escalade déroule, Cécile dans L3 de la Dalle Rousse, nos petits jeunes dans L3 de la voisine.
Sur le haut on passe brièvement à l’ombre.
Sortie dans les prairies sommitales où on retrouve un franc soleil et où la mer de nuages sur le lac commence à se dissiper. Après un paisible lézardage, comme d’habitude ici on redescend à pied.
Hum, Hum un peu de neige glacée pour le plaisir de rester concentré et de de bien marquer ses appuis. Une transition vers la neige et la glace pour conclure ce qui était surement une des dernières voies d'escalade de l'année ? Ah ben non zut pour Cécile comme déjà ce jour c’était la première…
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Escalade
5 novembre 2016
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12:15
Un bien joli site découvert en ce long et beau week-end de Toussaint depuis la presqu'île de Giens où nous avions posé notre camp de base.
En version escalade d’abord où comme on peut le voir ici le choix est vaste. Pour une première expérience on se dirige vers le secteur Capri, l’accès se fait par le haut en une vingtaine de minutes.
Une fois dans les gorges on visite (se perd) un peu avant de repérer notre voie. 5 longueurs faciles et bien équipées mais qui grimpent bien pour la cotation comme nous le confirmerons des grimpeurs marseillais habitués du coin (d’après eux ici en général les cotations sont plus sèches que dans les calanques).
L1 avec son arbre sur lequel on peut jouer les funambules.
Sortie de L3 la plus belle avec toujours un petit gaz sympa. En cette saison le fond des gorges reste toujours à l’ombre, nous en attaquant vers 11h30 on a eu le soleil à partir de R1. Des températures idéales donc, l’été par contre il doit surement y faire beaucoup trop chaud.
L5 pour terminer avec un relais commun à Turkish Delight et qui sert souvent de variante de sortie plus facile à cette dernière.
Retour rapide à la voiture et voilà pour une tranquille petite grande voie qui donne vraiment envie de revenir dans le coin. Ce sera chose faite 2 jours plus tard mais en version balade cette fois. Si pour l’escalade on avait visité le secteur haut, là on part de la route à l'entrée des gorges pour les remonter à pied.
En cette saison le Destel coule très peu sauf en cas de fort orage, du coup on alterne la balade à pieds secs, le contournement de quelques belles vasques le tout en franchissant de magnifiques marmites et autres circonvolutions rocheuses sculptées par l’eau.
Pas de difficulté technique mais quelques pas ludiques chainés ou pas. Ca vaut quand même un peu de concentration (de crispation ?) pour Agnès sous les commentaires goguenards du reste de la troupe.
On stoppe aux Cuves du Destel, ça ne passe plus à pied et si ça peut se contourner pour retrouver à nouveau les gorges ça dévient moins classique.
On choisit donc de retrouver le soleil
Pour un retour au plus près des crêtes (ici des grimpeurs à la sortie du secteur Château du Diable) et un cheminement parfois aérien pour rejoindre à nouveau l’entrée de gorges. Un bien bel endroit donc que ce Destel, situé à environ 30 minutes de voiture de Hyères (en période de circulation fluide en tout cas...) c'est vraiment une belle façon d'allier mer et rocher à l'occasion d'un séjour sur la presqu'île de Giens.
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Escalade
Balades
22 octobre 2016
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07:56
Un incontournable mais tellement agréable. Aujourd’hui il n’y a pas de grimpeur apparemment, on aura donc la Maye pour nous tout seul.
Départ vers 10h30 de la voiture tout est déjà au soleil, les couleurs d’automne sont là mais pas encore aussi éclatantes qu’elles pourraient l’être. Si on regarde ici par exemple, l’an dernier 2 semaines plus tôt c’était déjà beaucoup plus coloré.
25 ans après je revisite Une Maye à l’endroit, un coin de la falaise où je n’étais pas allé depuis bien longtemps et une bien jolie voie assez exigeante quand même.
Témoin la longueur au-dessus d’Antoine.
Rocher magnifique mais escalade explosive…
Quelques longueurs intermédiaires dans du 5c pas si facile pour rejoindre la vire.
Et un bouclier superbe avec notamment 3 longueurs où quelques pas plutôt fins sont assez obligatoires.
A 15h la Bérarde est déjà dans l’ombre pendant que nous on profite du soleil. Le thermique nous oblige à garder un petit sweet mais il fait quand même bien bon
Un des coups d’œil du coin, toujours magique à cette saison.
Les derniers rayons et hop on replonge dans la fraicheur pour boucler la boucle
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Escalade
15 octobre 2016
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19:16
Après un peu de pratique en salle, Marie Christine jeune grimpeuse en devenir, avait envie de découvrir le vrai rocher. Alors allez, comme ce samedi il fait beaucoup plus beau qu’annoncé, pourquoi pas un petit combo école d’escalade/voie facile pour balayer un peu tous les aspects de la chose.
Vers 14h30, on commence par quelques longueurs à l’Ecoutoux. C’est déjà un peu plus haut qu’en salle et au niveau sensations ça change un peu
Ici c’est de la dalle alors il faut oublier les grosses prises de main pour bien charger les pieds. Après quelques aller/retour on change de sport, 10 minutes de marche et nous voilà, toujours sur l'Ecoutoux, au pied de l’arête à Jojo.
Encordement raccourci, baskets et hop c’est parti. Le début est un peu touffu puis progressivement on rejoint le soleil et on s’extirpe de la forêt.
On retrouve aussi quelques jolis ressauts, l’occasion de construire quelques relais.
Et d'enchainer quelques pas d’escalade sympas.
En haut de l’arête on en traine pas trop pour poursuivre jusqu’au sommet et arriver pile pour les derniers rayons. Hum, hum même si ça nous vaudra un retour presque nocturne à la voiture, ne serions nous pas pour un moment au moins les rois du monde...
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6 octobre 2016
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12:58
Comme on se le disait avec Jacques c’est aussi pour des moments comme ça qu’on aime grimper, avec le temps ils deviennent même aussi importants que l’escalade elle-même.
Enfin bon on aime quand même encore un peu grimper parce que sinon cet endroit on pouvait aussi l’atteindre beaucoup plus rapidement en y venant directement de la voiture. Et si il aurait été tout aussi magique à cette heure, probablement qu'il lui aurait manqué un petit quelque chose.
Du coup quelques heures plus tôt, au soleil, nous voici dans la sympathique marche d’approche qui nous amène au pied des Rochers de l’Homme.
Où vers 14h30 on attaque Coucou Rioupéroux, c’est la première voie que j’avais fait ici et si depuis j’en ai fait une vingtaine, ça fait toujours plaisir de revisiter ses souvenirs (et puis de toutes façons celles que je n’ai pas encore faites dans ce style elles sont beaucoup trop dures pour moi).
Le début est lumineux donc mais c’est plutôt piégeux, en effet comme le soleil est pile poil dans notre horizon on a beaucoup de mal à voir les prises (déjà qu’avec l’âge elles paraissent de plus en plus petites…).
Enfin bon dès L3, ca y est, on est complétement à l’ombre.
De la jolie grimpe sur un rocher encore chaud
Avant de retrouver le soleil couchant. Un bien belle après-midi avec Jacques et les Rochers de l’Homme pour nous tout seuls.
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