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4 mars 2016 5 04 /03 /mars /2016 12:51

Hier début de soirée à la belle Electrique avec Aaron, un set sympa dans une salle qu’il l’est tout autant. Simon Buret (le chanteur d’Aaron) l’a dit plusieurs fois : « on fait beaucoup de salles, c’est toujours un plaisir d’en voir émerger de nouvelles et celle-ci a une configuration vraiment super pour nous… »

Début de soirée ou de matinée, l'important c'est de swinguer...

Moi je peux vous confirmer que pour le public aussi c’est vraiment sympa alors bon comme en plus la programmation n’y est pas mal du tout allez-y, allez-y. Après cette délicieuse fin de soirée, pour ne pas rompre le charme et rester dans l’euphorie du concert,  aujourd'hui c’est avec Hugues qu'on va d’essayer de faire swinguer le début de matinée.   

Début de soirée ou de matinée, l'important c'est de swinguer...

A Grenoble  quand il a neigé rien de plus facile. Il faut juste se lever un peu tôt et là ça en valait vraiment la peine. Un beau manteau blanc, un rayon de soleil, ouah on n’en demandait pas tant.

Début de soirée ou de matinée, l'important c'est de swinguer...

Du coup le sommet est atteint sans peine puisque 5cm de neige ont opportunément recouvert la croute glacée du haut.

Début de soirée ou de matinée, l'important c'est de swinguer...

La descente sera à la hauteur de notre manque de poudreuse cette saison. Certes un petit fond glacé est présent au départ.

Début de soirée ou de matinée, l'important c'est de swinguer...

Mais rapidement ce n'est que du bon.

Début de soirée ou de matinée, l'important c'est de swinguer...

Du très bon

Début de soirée ou de matinée, l'important c'est de swinguer...

Et même du très très bon

Début de soirée ou de matinée, l'important c'est de swinguer...

Dans une de nos descentes habituelles ici.

Début de soirée ou de matinée, l'important c'est de swinguer...

Début de soirée ou début de matinée , l’important c’est de swinguer....

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27 février 2016 6 27 /02 /février /2016 09:25

Découverte d’un coin qu’on ne connaissait pas aujourd’hui. Départ de Grand Naves pour aller faire un tour au Quermoz.

Au dessus de Grand Naves

Sur fond de Bellacha et Grand Arc la montée est paisible comme tous les reliefs alentours. L’occasion aussi pour Agnès de découvrir un domaine de ski nordique qui a l’air tout à fait intéressant.

Au dessus de Grand Naves

Pour l’heure si on coupe bien quelques pistes de ski de fond c’est plutôt par là haut qu’on va. Sur les crêtes le vent semble vraiment tempétueux mais on se dit que dans les pentes parsemées d’arbres justes au-dessus d’Agnès on devrait pouvoir encore trouver quelques zones abritées avec de la neige correcte.

Au dessus de Grand Naves

C’est donc vers ces pentes qu’on va. Peu satisfait de la trace (trop raide comme souvent je trouve…) on s’en écarte pour la refaire et découvrir du coup quelques passages où la neige pourrait même être sympa à la descente.

Au dessus de Grand Naves

Plus haut on retrouve l’autoroute dans une ambiance bien hivernale. Sapins bien blancs et même si ça ne se voit pas trop ici, neige à l’horizontale.

Au dessus de Grand Naves

Du coup si Agnès s’arrête à l’abri des derniers sapins, après m’être bien emmitoufler et sans le sac, je pousse 50 mètres de plus pour atteindre l’arête qui mène au Quermoz. Ah oui effectivement, même si le sommet n’est qu’à 150 m de dénivelé ce ne sera pas pour aujourd’hui, je peine à tenir debout ,heureusement un petit sapin en contre bas de la crête me permet de dépeauter sans m’envoler.

Au dessus de Grand Naves

Retour vers le bas donc pour s’efforcer d’exploiter tous les endroits « abrités » repérer à la montée. Pas si mal finalement. La neige est dense, parfois même croutée selon l’orientation.

Au dessus de Grand Naves

Mais en utilisant les bonnes pentes on se fait plutôt plaisir. En bas on avait croisé un jeune en gros skis qui descendait déjà et qui nous avait souhaité bonne chance en nous disant que la neige était vraiment pourrie... On a bien fait de "prendre notre chance" comme disent nos amis québécois  

Au dessus de Grand Naves

Agnès n'en revient pas avec ses skis larges elle a même des allures de free-rideuse...

Au dessus de Grand Naves

Une belle descente et la découverte d’un joli endroit, la neige n’avait certes rien à voir avec celle rencontrée hier mais pour la météo du jour c’était bien agréable.

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26 février 2016 5 26 /02 /février /2016 20:38

La météo est pour le moins capricieuse cette année, en quelques jours on passe de l’automne à l’hiver puis au printemps. Pour les amateurs de plaisirs hivernaux il y aurait même pafois de quoi désespérer un peu mais pourtant de ci de là on arrive à picorer quelques moments de ski sympa.

Les caprices de l'hiver

Mercredi par exemple c’était le printemps et en visant l’éclaircie avec Agnès on s’est fait plaisir au Grand Rocher. L’enneigement en bas est à peine suffisant mais ensuite c’est pas mal. 

Les caprices de l'hiver

Un peu de soleil au sommet et hop la descente dans une neige molle à souhait mais avec peu d’enfoncement rend le ski plutôt agréable. Un mercredi acceptable qui ne ressemble pas à jeudi où c’est franchement l’automne. J'attend donc sagement le lendemain où il paraît que l’hiver revient nous faire un bref coucou.

Les caprices de l'hiver

Vendredi matin donc , ouah –3 au parking, les arbres tout blanc, même si on porte un peu au départ ce n’est pas bien grave et avec Lio et Pascal c’est avec le sourire qu’on va vers un couloir au Mouchillon.

Les caprices de l'hiver

Toutes les pentes d’accès sont ravagées, bon ça s’évite facilement et c’est recouvert d’une délicate couche de poudreuse, alors on continue vers le couloir (pas le bon en plus mais ça n’aurait sans doute pas changer grand chose). Une fois à l’attaque si sous nos skis ça va, plus haut la rive gauche nous envoie en permanence de jolis spindrifts d’un parfois fort beau gabarit. Comme en plus sur les crêtes le vent s’est levé…. Au bout de quelques bonnes saucées bien rafraichissantes (pour ceux qui veulent voir à quoi ça ressemble en vrai c'est ici. ) on signe le but et on file vers le bas.

Les caprices de l'hiver

Un peu de bartassage souriant et on se trouve une belle ligne.

Les caprices de l'hiver

Où le ski est excellent.

Les caprices de l'hiver

On en profite à fond jusqu’au ruisseau de Combe Madame. Une fois en bas même si Lio doit rentrer tôt comme on est du bon coté (du ruisseau peu évident à traverser en ce moment…) on se dit qu’on va remonter vers le col du Mouchillon

Les caprices de l'hiver

Surement ce qu’on aurait du faire dès le début mais bon, il n’est jamais trop tard pour bien faire. Montée facile et sympa, c’est que tracer dans la poudreuse par beau temps cette année on prend…

Les caprices de l'hiver

Y a juste un petit détail qui cloche, non, non pas le paysage, c’est juste qu’on n'est plus que deux puisque les peaux de Lio n’ont pas résisté à la deuxième montée.

Les caprices de l'hiver

Compte tenu du timing on stoppe vers 2200 et c’est parti pour une super descente.

Les caprices de l'hiver

30 de poudre

Les caprices de l'hiver

Pas de trace.

Les caprices de l'hiver

600 m de pur plaisir.

Les caprices de l'hiver

Ajouté au 400m initiaux finalement ce caprice la il n'est pas pas si mal. Au Premier Chalet on retrouve Lio, encore quelques dizaines de mètres à ski et on passe en mode piéton pour conclure cette jolie parenthèse hivernale. 

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21 février 2016 7 21 /02 /février /2016 21:51

C'est toujours la même histoire, pas vraiment de ski prévu mais bon comme il fait trop beau, quelques SMS et hop on se retrouve sur les planches. Aujourd’hui il est 16h15 et avec Yo c'est vers Chamechaude qu'on va. Montée "tranquille" en tee-shirt  (et oui cette saison d'un jour à l'autre il faut savoir s'adapter aux conditions) et nous voici au sommet.

Glisse du soir

Ici on croise toujours des connaisances alors comme on est largement en avance sur le coucher de soleil, on profite et on discute.

Glisse du soir

Voila il est temps d'y aller, la neige semble prometteuse

Glisse du soir

Il y a quelques dizaines d'années on aurait pu la trouver un peu lourde.

Glisse du soir

Mais maintenent non, vraiment pas

Glisse du soir

Les skis et les trajectoires se sont élargis

Glisse du soir

Alors on la dévore à pleines dents dans la superbe lumière du soir, pff c'est si bon et si vite fait qu'on n'est pas prêt de s'en priver. 

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20 février 2016 6 20 /02 /février /2016 11:09

Pas d’amateur de glace ce week-end, c’est vrai que la neige commence à nous proposer quelques trucs sympas. Comme il est annoncé un peu couvert au nord avec Cyril et Georges on file au le sud vers le Pic de Bure (que je n’avais jamais fait à ski) avec l’idée d’une petite variante ludique (suggérée par Hugues).

Pic de Bure par la "Traversée Héroïque"

On ne part pas trop tard pour éviter la foule sur la route, comme d’hab ça a ses avantages…

 

Pic de Bure par la "Traversée Héroïque"

Départ par le vallon de la Corne, il fait bien frais –7 à la voiture. Pour aller au Pic de Bure c’est tout droit mais nous pour s’amuser un peu on va passer par la traversée Héroïque. Un joli Chourum qui s’accède facilement par une faiblesse de la falaise qu’on voit de profil juste au-dessus de Cyril. 

Pic de Bure par la "Traversée Héroïque"

Et hop nous y voici pas mal non ? Il y a juste une trace délicate faite les jours précédents.

Pic de Bure par la "Traversée Héroïque"

Ca commence par un passage rocheux équipé d’une corde fixe qui permet de pénétrer dans la « cathédrale »

Pic de Bure par la "Traversée Héroïque"

 On rejoint ensuite une pente de neige pour ressortir par un des yeux de la bête.

Pic de Bure par la "Traversée Héroïque"

Vers le bas Mikael (rencontré au parking) à la sortie de la partie rocheuse.

Pic de Bure par la "Traversée Héroïque"

C’est vraiment un endroit magique, alors on ne se presse pas et on en profite, les appareils photos sont de la partie.

Pic de Bure par la "Traversée Héroïque"

Mikael à la sortie sous le feu des paparazzis.

Pic de Bure par la "Traversée Héroïque"

De la Corne de Bure la suite est plus classique, on redescend pour rejoindre la combe Ratin qui nous amène tranquillement à l’observatoire puis au sommet.

Pic de Bure par la "Traversée Héroïque"

Enfin pour le sommet ce n'était pas si tranquille que ça. Puisque outre que ce n’est pas tout près, là-haut le vent du nord était déchainé et avec la neige glacée il fallait faire gaffe à ne pas se faire pousser dans la face est.

Pic de Bure par la "Traversée Héroïque"

On ne s’y attardera pas trop donc pour, après une pause plus calme en haut de la combe d’Auzour,  revenir voir de plus près les paraboles de l’observatoire. Celles-ci nous ont même offert un lent et majestueux balai parfaitement synchronisé pendant qu’on se préparait à la descente.

Pic de Bure par la "Traversée Héroïque"

Et la descente justement. Dés qu’on rentre dans la combe Ratin on est à l’abri du vent et la neige, entre froide dense et un peu de carton portant, est plutôt bonne à skier.

Pic de Bure par la "Traversée Héroïque"

Plus bas en visant les bonnes zones c’est pas mal du tout.

Pic de Bure par la "Traversée Héroïque"

Pour même se transformer en vielle poudreuse bien agréable.

Pic de Bure par la "Traversée Héroïque"

Une fin en roue libre et une bien belle façon d’aller au Pic de Bure par la voie normale. Ce n’est pas aussi spectaculaire que les Chourums Olympique au Grand Ferrand mais c’est beaucoup plus simple d’accès et au passage sur la voie normal ça vaut vraiment le détour. En hiver en plus je pense qu’on évite le coté désagréable du pierrier suspendu et comme pour un skieur alpiniste ça reste vraiment facile techniquement ne vous en privez pas si vous passez au pied. D'autres infos et photos ici.

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