




Le blog de la famille «Bertonche», de nombreuses façons d'aller passer un moment en montagne, quelques balades plus exotiques et aussi quelques concerts/ciné/livres ou autres "n'importe quoi"....(et
toujours beaucoup trop de montagne selon certaines…)
Après la montée classique par
la route, petites pause devant les célèbres tags sommitaux (perfectible je trouve le look des voloboys «recyclés»).
Puis descente variée où je
fais visiter un peu la colline. Chacun son style, passages roulants, passages techniques, petites remontées, on s’amuse, on s’amuse et même les fraîchement convertis à la discipline commence à y
prendre du plaisir.
Au retour Oliv qui ne pouvait
se libérer assez tôt nous rejoint et on passe aux choses sérieuses. Concentration maximum pour la découpe et la dégustation du désert «Lio home made». Réussie comme le reste de cette petite fin
d’après midi. A refaire avec les absent(e)s du jour.
Après un peu de montage/réglage chez Ludwig vers 20h j’arrive au Mûrier. Il fait frais, la lumière est très belle donc même si je suis un peu crevé je ne me pose guère de questions, le repas sera pour plus tard car j’ai trop hâte d’essayer mon nouveau jouet. Je monte vite fait mes anciennes pédales (les automatiques ça sera pour plus tard je n’ai pas encore les chaussures qui vont avec) et c’est parti pour une petite boucle d’une heure. Dès les premiers tours de roue l’impression est bonne, malgré un poids un peu plus élevé, le rendement et la motricité n’ont vraiment rien à voir, ça avance presque tout seul. Comme je connais le parcours par cœur j’ai vraiment de bons repères pour juger des différences. A la descente dans les quelques passages techniques la bête (Rocky Mountain Altitude 50) est encore à apprivoiser mais déjà en zones un peu roulantes ça va sacrément vite…
Tout plein de nouvelles sensations à découvrir donc. Merci à Ludwig pour les conseils et les facilités d’achat et clin d'oeil à tous les taquins qui se
moquaient de mon vieux vélo, particulièrement à Yannick qui n’a cessé de me vanter les mérites de son Slayer et à Cédric qui pour achever de me convaincre m’a fait essayer son Cannondale Moto. Voilà les gars après de presque vrais skis j’ai maintenant un vrai
VTT.
Surtout un prétexte pour passer voir Philippe et Fabienne avec qui on va faire notre tour habituel sur le plateau.
Version cool aujourd’hui, c’est un
peu humide mais ça roule tout seul, ça discute, ça discute… A peine un effort et après une vingtaine de km on est déjà de retour pour l’apéro.
Bien agréable et bien moins fatigant que le ski tout ça...
Pas tout à fait, mais quand même, car ce soir Cédric qui ne fait pas que de se moquer de mon ancestrale monture, propose de me prêter la sienne pour une boucle vers Monchabout. C’est ma première expérience de tout suspendu et j’attaque directement par du haut de gamme. La bête, un Cannondale Moto, est fort jolie et malgré son aspect un peu massif elle n’est pas lourde du tout. A rouler elle s’avérera des plus sympathique tant à la montée qu’à la descente. En descente malgré les conseils de Cédric je ne me lâche pas encore tout à fait mais le travail des suspensions permet déjà d’atteindre des vitesses beaucoup plus importantes que d’habitude avec une impression de fluidité bien agréable.
La petite boucle elle aussi est
fort jolie et si j’en connaissais une partie je n’étais jamais remontée en haut de la colline de Monchabout. Je l’avais fait une fois et j’avais trouvé ça trop raide, ce coup ci sa passe tout en
vélo et le single qui permet d’en descendre, lisse mais bien raide par endroit, est excellent pour découvrir un peu plus la bête. De la bonne glisse donc rehausser par la pluie qui s’invite à la fête sur la dernière partie de la balade.
Avec tout ça on arrive complètement trempé mais ce n'est pas bien grave et une bonne Leffe bien au sec nous fait oublier tout ça. Merci Cédric pour cette petite boucle et pour l’essai VTT, là
c’est sûr je ne vais plus pouvoir me passer longtemps d’une monture similaire.