Avec l'ami Antoine.
Coté pile
Coté face
Pile à nouveau
Puis face.
Un dernier pile.
Une dernière face. Plouf dans l'eau ?
Non finalement on descend.
L'endroit, la voie c'était celle-ci.
Le blog de la famille «Bertonche», de nombreuses façons d'aller passer un moment en montagne, quelques balades plus exotiques et aussi quelques concerts/ciné/livres ou autres "n'importe quoi"....(et
toujours beaucoup trop de montagne selon certaines…)
Avec l'ami Antoine.
Coté pile
Coté face
Pile à nouveau
Puis face.
Un dernier pile.
Une dernière face. Plouf dans l'eau ?
Non finalement on descend.
L'endroit, la voie c'était celle-ci.
Ben oui forcément on allait qu'en même pas, même si c'était juste pour rire, laisser passer cette première offensive de l'hiver. A l'autre bout de la ligne Gérald était sur la même longueur d'onde alors je lui laisse la parole.
"Lorsque j'ai proposé sous forme de boutade d'aller faire une goulotte du côté de Casserousse, je ne croyais pas un instant que mi-septembre, un record de précocité allait tomber. Allô Jo !! Où presque puisque c'est sur Messenger que j'ai envoyé sous forme de bouteille à la mer, ce message humoristique au propriétaire des goulottes de Chamrousse... Tu ne ferais pas du mixte Chamroussien ce weekend par hasard ? De l'autre côté de l'application, un Jo BERTONCINI à la pointe de ses piolets n'attendait que ça pour me dire OK ! Ok pour une goulotte un 14 septembre. Et pourquoi pas aller danser une polka sur la place rouge à Moscou ? Mais non, le gars était sérieux. Il était autant dans les starting-blocks que je l'étais. Un rapprochement amicale entre Lyon et Grenoble voyait le jour. Presque un réchauffement. Cette fois j'ai bien fait attention à ne rien perdre en route. Ni mes piolets, ni mes crampons. On ne peut pas perdre ses peaux mille fois mais on peut mille fois perdre son compagnon de cordée. Fort de cette résolution, c'est dans le vent et le froid matinal qu'avec Jo je suis allé taper dans des mottes à peine gelées, là où des plantes, qui l'hiver sont recouvertes par cinq mètres de neige, venaient agrémenter notre cheminement vertical. Ce n'était pas la jungle non, juste la preuve que la nature à encore des ressources. Bon, maintenant qu'on est passé c'est comme avec Attila, y'a plus rien qui va pousser".
Voilà presque que tout est dit juste en plus quelques impressions illustrées parce que quand même c'était beau et un peu plus subtile que d'habitude au niveau escalade pour ne pas martyriser ce début d'hiver tout en finesse.
Approche frisquette mais ça fait plaisir de retrouver les frimas de l'hiver.
C'est sec non ? .
Du soleil à l'attaque !!! ben oui on n'est que le 14 septembre.
L'attaque, encore un peu de vert une touche inhabituelle ici.
Un peu de glaçon aussi.
Et toujours une sacré ambiance.
Inspirée et aspirée par la montagne.
On continue
De délicats appuis.
De grands sourires
Avant de rejoindre le soleil.
Content d'être là.
Les nuages chanroussiens nous laissent de belles perspectives.
Dont on profite avec gourmandise.
Et voilà la parenthèse hivernale était petite mais qu'est ce qu'on a bien fait d'en profiter.... Les impressions complètes de Gérald ici
Dernières étapes de notre itinérance, on termine par le versant italien. Grosse pluie en arrivant dans le secteur mais sans les conséquences désastreuses subit par le versant français où la Haute Maurienne a terriblement souffert.
Ici ce n'est que spectaculaire
On poursuit la vallée jusqu'à trouver un emplacement qui nous plait juste en dessous du Lac Serru.
Il n'y a absolument personne dans le secteur en cette fin d'après-midi, la neige pointe sur les sommets et les perspectives pour le lendemain semblent sympas.
Au réveil le Lac s'ensoleille
Et la rosée du matin blanchit les prairies.
Il ne reste plus qu'à partir pédaler
Dans un tel décor c'est facile
On est les premiers alors on a des supportrices au bord de la route...
Au col du Nivolet de prestigieux sommets italiens se dévoilent ici.
Puis plus loin là
Un petite descente sur l'autre versant.
Pour aller s'offrir un en cas au refuge Savoie.
Remontée.
Avant de rebasculer. A noté aussi le versant italien donc de tout plein de sommets haut-mauriennais qui font leur timide derrière les nuages, imaginez de gauche à droite : Levanna Occidentale, Pointe de l'Uja, Cime du Caro, Grand Aiguille Rousse....
Encore un bien joli et tranquille endroit pour pique-niquer
En repartant un coucou au Val dell Orco où il faudrait bien venir grimper un jour...
Puis un dernier coucher de soleil
Pour un dernier stop avec une vue encore bien sympa.
On est au col du Petit Saint Bernard souvenir sympa de ski en mode été avec Cécile et Maud.
D'ici il y a un sommet rapide d'accès où la vue sur le massif du Mont Blanc est exceptionnelle, si on n'y résiste pas
La vue par contre, la faute à un vent soutenu et à des nuages coiffant venant d'Italie, ben elle, elle nous résiste un peu.
Au bout d'un moment dans le froid et le vent Agnès lâche l'affaire parce que "Only the strong will suvive"
Petit passage câblé
Et puis effectivement la vue au sommet est vraiment remarquable... mais bon je ne regrette quand même pas cet A/R là-haut en mode footing. .
Un tour sur le vrai sommet quelques dizaine de mètres plus haut et puis pour conclure cette jolie itinérance imaginée et improvisée encore jour après jour, la seule question qui vaille, va-t-on franchir le pas ? mais non pas celui-là il n'apporterait que désolation, un autre vous voyez lequel ? non ? bah vous verrez surement plus tard...
La versant lac de notre itinérance estivale.
Une journée sur le Léman d'abord, installé direct au bord de l'eau.
Un petit tour à vélo vers Montreux pour aller faire coucou à Freddy
Retour au sunset
Pour regarder briller les lumières du lac.
2 jours à Lecco
Une boucle le long du lac de Côme.
Dans la fraicheur du matin
Maison colorée
Avant de lézarder ou de se baigner jusqu'à attendre le coucher.
2 jours encore à Iseo, un bien joli endroit.
Et là comme il ne fait pas trop chaud, c'est pour le tour complet du lac qu'on part.
Des zones en piste cyclable.
Des zones en route ouverte
De jolies vues
Quelques rares zones urbaines peu agréables mais surtout de charmants petits bourgs.
Des zones de routes réservées aux vélos.
Un passage aux tags suburbains
Un joli tour varié de 65 km quand même.
Avant une soirée à l'ambiance plus métallique.
Et des pizzas bien méritées
Apres la version cascades en 2022, les "hasards" de notre petit périple nous y amenant tout près, c'était l'occasion de découvrir ce coin l'été.
Une fois sur place on commence forcément par notre coup de cœur de l'hiver et donc par un passage à Walsersurba Avers pour profiter de l'accueil et des mets délicieux de Simon et Steffi. Du coup après une excellente soirée et un excellent repas, on va poser le camion un peu plus haut.
Ce coin de Suisse où comme nous l'a dit Simon, ils ont renoncé à plein de projets touristiques pharaoniques (station, tunnel vers St Moritz...) est d'une tranquillité exceptionnelle,
Au matin une petite averse nous cueille, mais après le petit dej ça a l'air de s'arranger
Alors on part à la découverte du vallon de Madris.
Une longue remontée où on côtoie bergeries et pâturages
Quelques courtes et intense montées mais dans l'ensemble c'est plutôt plat
Une vingtaine de km A/R où on ne croisera personne.
Dans l'autre sens
C'est joli aussi
Une vasque corse.... sans la température qui va avec.
Une dernière descente.
Quelques beaux chalets, et hop effectivement le Val Ferrera ça marche aussi l'été.